Le Serment d’Excellence du CTRI pour Guérir, Transformer et Unifier le Gabon

29/07/2024
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Le Renouveau de la Communication et des Médias au Gabon sous la Transition

Depuis quelques années, notre pays, le Gabon, a accumulé un retard néfaste ayant conduit à la déliquescence de son réseau de communication. Cependant, fermement engagé sur la voie de la restauration, le Président de la Transition, Président de la République, Chef de l’État, le Général de Brigade Brice Clotaire OLIGUI NGUEMA, multiplie, depuis le 30 août 2023, les initiatives visant à améliorer substantiellement le quotidien de ses compatriotes. Porteur d’une vision de développement inclusive, le Chef de l’État a très tôt cerné les enjeux d’une revitalisation des médias et de la communication sur le développement du pays et l’amélioration des conditions de vie des Gabonais. Conscient des multiples défis liés à l’accès équitable aux médias et aux technologies de la communication, il a mis en œuvre des décisions fortes pour répondre à la demande croissante des Gabonais.

À l’ère du numérique, dans un monde en constante mutation, les Nouvelles Technologies de l’Information et de la Communication (NTIC) demeurent des instruments incontournables de la vie quotidienne et des atouts majeurs pour édifier une société prospère et égalitaire. Ces technologies favorisent l’accès généralisé aux services publics de base tels que la santé et l’éducation, promeuvent l’inclusion financière et l’accessibilité aux services commerciaux, facilitent l’interconnectivité entre les régions et le rapprochement des peuples, et créent de nouveaux emplois et modes de travail, contribuant ainsi au développement socio-économique des pays et de leurs populations.

Grâce à cet accompagnement indéfectible du Président de la République, le secteur de la communication et des médias se transforme chaque jour un peu plus, subissant une restructuration profonde et une modernisation intégrale de ses services et de son offre.

L'une des réalisations phares dans le secteur des médias, sous la transition, a été la relance de la station de radio Africa N°1. Cette initiative, inscrite dans un vaste programme de réformes initié par le Président de la République, visait à moderniser et dynamiser le secteur de la communication au Gabon. La relance d'Africa N°1 a commencé par une refonte complète des conditions de travail et de rémunération des employés, créant un environnement de travail plus favorable et motivant, indispensable pour attirer et retenir les talents nécessaires à la renaissance de la station. L'un des principaux objectifs de cette relance était de renforcer le paysage médiatique gabonais. En redonnant vie à Africa N°1, le Chef de l’État vise non seulement à améliorer la qualité et la diversité des contenus médiatiques locaux, mais aussi à faire entendre la voix du Gabon et de l'Afrique sur la scène internationale. La station, ayant une portée panafricaine, joue un rôle crucial dans la diffusion des actualités, des cultures et des opinions africaines à un public mondial. Les résultats de cette relance ont été remarquables, avec une augmentation exponentielle de l'audience, démontrant l'intérêt et l'engagement croissant des auditeurs. La stratégie de contenu et la qualité des émissions ont conduit à une adhésion progressive des auditeurs africains, renforçant ainsi la présence d'Africa N°1 dans plusieurs régions du continent. La station dispose désormais de correspondants dans six régions d'Afrique, assurant une couverture médiatique plus large et plus diversifiée. Sur le plan national, le rehaussement de l'image du Gabon a été significatif. Africa N°1 est devenue une vitrine de l'excellence médiatique gabonaise, contribuant à améliorer la perception du pays à l'étranger. Sur le plan économique, l'amélioration des revenus des travailleurs du secteur a été notable. Les efforts pour arrimer les salaires les plus bas au Revenu Minimum Mensuel (150.000 CFA) ont non seulement augmenté le pouvoir d'achat des employés, mais ont également conduit à une amélioration générale de la qualité du service. En somme, la relance d'Africa N°1 illustre parfaitement les ambitions du Président de la République, en créant un environnement médiatique plus robuste, plus inclusif, et capable de porter la voix du Gabon et de l'Afrique sur la scène internationale.

Une autre réforme majeure, initiée par le Chef de l’État, a été la revalorisation de la subvention accordée aux médias. Cette augmentation significative de la subvention, passant de 127 millions à 500 millions de francs CFA, a été un signal fort du soutien du Président de la République à ce secteur vital pour la démocratie et la diversité de l'information. Les effets de cette augmentation de la subvention ont été immédiats et bénéfiques, permettant aux organes de presse de maintenir et d'étendre leurs activités, contribuant ainsi à une couverture médiatique plus riche et plus diversifiée. Cette mesure a également permis d'améliorer la qualité de l'information disponible pour le public gabonais, en donnant aux médias les moyens de mener des enquêtes plus approfondies et de produire des contenus de haute qualité. En conclusion, ces réformes structurelles illustrent l'engagement du Président de la République à créer un environnement médiatique robuste et dynamique, renforçant le secteur de la communication, améliorant la qualité de l'information, et faisant entendre la voix du Gabon sur la scène internationale.

Dans le cadre des réformes structurelles menées sous la direction du Chef de l’État, un accent particulier a été mis sur le renforcement des ressources humaines et la régularisation administrative des employés du secteur de la communication et des médias. La création de 500 nouveaux postes budgétaires représente une étape significative dans la gestion des ressources humaines dans ce secteur. Cette mesure visait à restaurer la dignité des salariés en offrant des opportunités d'emploi stables et bien rémunérées, incluant également la régularisation des situations administratives des employés, assurant que tous les travailleurs bénéficient des droits et des avantages sociaux appropriés. En créant de nouveaux postes budgétaires, le Président de la République a cherché à améliorer l'efficacité et la productivité des services médiatiques publics, tout en contribuant à la réduction du chômage en offrant des opportunités de carrière à de nombreux Gabonais. Les effets de la création de ces nouveaux postes budgétaires ont été multiples et positifs. La régularisation administrative et les nouvelles opportunités d'emploi ont considérablement motivé le personnel, augmentant ainsi leur engagement et leur dévouement dans leurs fonctions. La création de ces postes a également permis d'attirer de nouveaux talents et profils diversifiés dans le secteur de la communication et des médias, enrichissant ainsi les capacités du ministère et améliorant la qualité des services offerts. Avec un personnel plus nombreux et mieux formé, le rendement global des services médiatiques publics a connu une nette amélioration, permettant aux équipes de répondre plus efficacement aux besoins et attentes du public, tout en innovant et en adoptant de nouvelles technologies et méthodes de travail. La création de 500 postes budgétaires et la régularisation administrative des employés ont été des réformes cruciales pour renforcer le secteur de la communication et des médias au Gabon, illustrant l'engagement du Chef de l’État à bâtir un environnement de travail solide, inclusif et performant, au service de la nation gabonaise.

L'une des priorités du Ministère de la Communication et des Médias durant la période de transition, sous la direction du Président de la République, a été d'améliorer la couverture télécommunicationnelle du pays, en particulier dans les zones dites "blanches" où les services de téléphonie mobile et d'internet étaient inexistants. Pour atteindre cet objectif, le Groupement d'Intérêt Économique (GIE) "Poste Télédiffusion Services Universels (PTSU)" a été créé et mis en œuvre. La création du PTSU vise principalement à améliorer la couverture radio et télé à l'échelle nationale, garantissant que chaque citoyen, qu'il vive en zone urbaine ou rurale, ait accès à des services de télécommunication de qualité. En s'attaquant aux zones blanches telles que Lebamba, Gamba, Moulengui Bindza, Onga, Okondja, Ovan, Dibwangui, Nzenzele, Makongonio, Iboundji, Aschouka et Akok, souffrant d'un manque de services de téléphonie mobile et d'internet, le Chef de l'État cherche ainsi à réduire les inégalités d'accès aux informations et à la connectivité. Les résultats de cette initiative ont été significatifs, avec une extension du réseau de télécommunication à plusieurs nouvelles localités, assurant une couverture plus homogène à travers le pays. Ces zones blanches, auparavant privées de services de téléphonie mobile et d'internet, ont enfin pu accéder à ces technologies essentielles, améliorant ainsi la communication au sein du pays et favorisant le développement économique et social des régions concernées. Les effets de cette initiative ont été largement positifs, l'amélioration de l'accès aux informations et à la connectivité ayant eu un impact direct sur la qualité de vie des citoyens. Les habitants des zones nouvellement couvertes ont pu bénéficier d'une gamme plus large de services, allant de l'éducation à distance à la télémédecine, en passant par le commerce en ligne et les services bancaires numériques. Cette connectivité accrue a facilité l'intégration sociale et économique des régions isolées, contribuant ainsi à une plus grande cohésion nationale. En somme, la création et la mise en œuvre du GIE "Poste Télédiffusion Services Universels (PTSU)" illustrent l'engagement du Président de la République, à moderniser les infrastructures de télécommunication du Gabon. En étendant la couverture télécommunicationnelle et en réduisant les zones blanches, cette initiative a permis d'améliorer l'accès aux informations et à la connectivité pour tous les Gabonais, renforçant ainsi le tissu social et économique du pays.

Une autre initiative clé, soutenue par le Président de la République, a été la migration vers la Télévision Numérique Terrestre (TNT) et la modernisation des équipements audiovisuels. Cette transition technologique était essentielle pour améliorer la qualité des services médiatiques offerts aux citoyens gabonais. L'objectif principal de cette migration vers la TNT était d'optimiser la qualité de l'audiovisuel et de faciliter l'accès à une télévision de qualité pour tous les Gabonais. La TNT offre une qualité d'image et de son nettement supérieure à celle de la télévision analogique, permettant ainsi une meilleure expérience de visionnage. De plus, cette technologie permet une utilisation plus efficace du spectre radioélectrique, libérant ainsi des fréquences pour d'autres services de communication. Les résultats de cette migration vers la TNT ont été immédiats et positifs, l'amélioration de la qualité de l'image et du son attirant un plus grand nombre de téléspectateurs et augmentant ainsi l'audience des chaînes de télévision gabonaises. La modernisation des équipements a permis aux chaînes de diffuser des contenus de meilleure qualité, répondant ainsi aux attentes d'un public de plus en plus exigeant. Les effets de cette transition ne se sont pas limités à l'augmentation de l'audience, la modernisation des équipements audiovisuels ayant également amélioré l'efficacité opérationnelle des chaînes de télévision, permettant une production et une diffusion de contenus plus diversifiés et innovants. En outre, cette initiative a contribué à la formation et à la montée en compétence des professionnels du secteur audiovisuel, renforçant ainsi la capacité du Gabon à produire des contenus de haute qualité. En résumé, la migration vers la TNT et la modernisation des équipements audiovisuels ont été des étapes cruciales pour améliorer la qualité des services médiatiques au Gabon. Ces initiatives ont non seulement permis d'optimiser la qualité de l'audiovisuel et de faciliter l'accès à la télévision de qualité pour tous, mais elles ont également contribué à l'augmentation de l'audience et à l'amélioration des services offerts aux téléspectateurs, témoignage de l'engagement du Chef de l’État à moderniser et à dynamiser le secteur audiovisuel du pays.

Le Président de la République, le Général de Brigade Brice Clotaire OLIGUI NGUEMA, a également entrepris des initiatives importantes pour valoriser et préserver la culture gabonaise dans le secteur. Parmi celles-ci, la création d'une Bibliothèque du Son Gabonais se distingue comme un projet ambitieux et visionnaire. L'objectif principal de cette bibliothèque est de doter le Gabon d'une plateforme dédiée à la conservation de ses sonorités traditionnelles et modernes, visant à préserver et à valoriser le riche patrimoine sonore du pays, en capturant une diversité de sons allant des musiques traditionnelles aux enregistrements contemporains. Cette initiative vise non seulement à sauvegarder des éléments culturels précieux pour les générations futures, mais aussi à promouvoir la culture gabonaise sur la scène internationale. Les effets de la création de cette bibliothèque du son sont multiples, mettant à disposition du monde entier une plateforme d'accès à la culture et à la diversité sonore du Gabon. Cette ressource précieuse permettra aux chercheurs, aux musiciens, aux éducateurs et au grand public de découvrir et d'apprécier la richesse et la diversité des sons gabonais. En outre, elle servira de centre de recherche et d'innovation pour les professionnels de la musique et de la culture, facilitant les collaborations et les échanges culturels. En résumé, la création d'une Bibliothèque du Son Gabonais est une initiative majeure qui contribue à la préservation et à la valorisation du patrimoine sonore du pays.

Elle représente un pas significatif vers la promotion de la culture gabonaise à l'échelle mondiale, tout en offrant une ressource précieuse pour l'éducation et la recherche. Cette bibliothèque illustre l'engagement du Chef de l’État à soutenir et à enrichir la culture nationale, tout en facilitant l'accès à cette culture pour un public global.
Dans le cadre de ses initiatives culturelles et de formation, le Ministère de la Communication et des Médias, soutenu par le Président de la République, a lancé les Journées des Contenus Audiovisuels (CAV). Cet événement vise à renforcer la qualité et l'attrait des contenus diffusés par les médias publics gabonais. Les objectifs principaux des CAV sont d'améliorer et d'optimiser les contenus audiovisuels produits par les médias publics. En réunissant les professionnels du secteur, cet événement permet d'échanger des idées, de partager des expériences et d'adopter les meilleures pratiques pour produire des contenus de haute qualité, avec pour objectif ultime de rendre les radios et télévisions gabonaises plus attractives pour le public. Les effets de cette initiative sont tangibles, l'amélioration de la qualité des contenus audiovisuels ayant conduit à une augmentation de l'audience des médias publics. Les téléspectateurs et auditeurs gabonais bénéficient désormais d'une offre médiatique plus riche et diversifiée. En enrichissant l'offre médiatique, les CAV contribuent à répondre aux attentes d'un public de plus en plus exigeant et à renforcer la crédibilité et l'influence des médias publics gabonais. En somme, l'organisation des Journées des Contenus Audiovisuels (CAV) est une initiative clé pour améliorer la qualité des médias publics au Gabon. Elle permet de renforcer les compétences des professionnels du secteur et de produire des contenus plus attractifs et pertinents pour le public, illustrant l'engagement du Chef de l’État à soutenir le développement du secteur audiovisuel et à promouvoir une offre médiatique diversifiée et de haute qualité.

Dans cette dynamique, le Président de la République a également initié le Festival International de Libreville, de l'Image et du Son (FESTII), une plateforme majeure pour la promotion du cinéma gabonais. Le FESTII a pour objectifs principaux de promouvoir et vulgariser les œuvres cinématographiques gabonaises. Ce festival offre une vitrine aux réalisateurs, producteurs et acteurs locaux pour présenter leurs créations à un public national et international. En mettant en valeur le cinéma "made in Gabon", le FESTII aspire à renforcer la reconnaissance et l'appréciation du talent gabonais dans le domaine cinématographique. Les effets de ce festival sont multiples et significatifs. Tout d'abord, le FESTII contribue à l'amélioration de la qualité du cinéma gabonais en offrant une plateforme de diffusion et de critique constructive. Les réalisateurs et autres professionnels du cinéma bénéficient d'un retour direct de leurs pairs et du public, ce qui favorise l'innovation et l'excellence dans leurs productions. De plus, le FESTII joue un rôle crucial dans le renforcement de l'identité culturelle gabonaise. En célébrant les histoires, les traditions et les perspectives locales à travers le cinéma, le festival contribue à une meilleure compréhension et valorisation de la culture gabonaise, tant à l'intérieur du pays qu'à l'étranger. Cette initiative aide à forger une identité culturelle forte et cohérente, essentielle pour le développement social et culturel du Gabon. En résumé, le Festival International de Libreville, de l'Image et du Son (FESTII) est une initiative clé pour la promotion du cinéma gabonais. En soutenant la production et la diffusion des œuvres locales, le festival améliore la qualité du cinéma et renforce l'identité culturelle du Gabon. Cette initiative démontre l'engagement du Chef de l’État à soutenir et à enrichir le secteur cinématographique national, tout en valorisant le patrimoine culturel du pays.

Parallèlement, la création d'une Maison de la Presse a été entreprise, un projet novateur visant à fournir un espace dédié aux professionnels des médias. Ce centre est conçu pour devenir un lieu de concertation, de formation et d'échanges, offrant ainsi un environnement propice à la valorisation et au développement des compétences des acteurs du secteur médiatique. La Maison de la Presse a pour objectifs principaux de créer un cadre où les professionnels des médias peuvent se réunir, discuter et se former. En offrant des formations régulières et des ateliers, elle vise à renforcer les compétences techniques et professionnelles des journalistes, des rédacteurs et des autres acteurs du secteur. De plus, elle joue un rôle crucial dans la valorisation des professionnels des médias, en reconnaissant leur contribution essentielle à la société et en leur fournissant les outils nécessaires pour exceller dans leur métier. Bien que les résultats de cette initiative soient encore en cours de réalisation, les premiers signes sont prometteurs. La Maison de la Presse commence déjà à attirer l'intérêt et la participation active des professionnels des médias, posant ainsi les bases d'un espace dynamique et collaboratif. Les effets anticipés de la création de la Maison de la Presse sont nombreux et positifs. Elle favorisera le développement des compétences des professionnels des médias grâce à des programmes de formation ciblés et des opportunités de développement professionnel continu. En outre, elle facilitera le partage d'expérience entre les acteurs du secteur, permettant l'échange de bonnes pratiques et la collaboration sur des projets communs. Enfin, l'amélioration des compétences et des connaissances devrait se traduire par une amélioration globale du traitement de l'information, offrant ainsi au public des contenus de meilleure qualité et plus fiables. En résumé, la création d'une Maison de la Presse représente une avancée significative pour le secteur des médias au Gabon. Elle offre un cadre structuré et professionnel pour la formation, la concertation et l'échange entre les professionnels des médias, tout en valorisant leur rôle essentiel dans la société. Cette initiative illustre l'engagement du Président de la République à soutenir le développement et l'enrichissement du paysage médiatique gabonais, en investissant dans les compétences et le bien-être des professionnels du secteur.

En Somme, sous la direction du Président de la République, le Général Brice Clotaire OLIGUI NGUEMA, et avec le soutien du Comité pour la Transition et la Restauration des Institutions (CTRI), la période de transition au Gabon a vu des réussites majeures dans la communication et les médias. La relance d'Africa N°1 a revitalisé la station, améliorant les conditions de travail et augmentant l'audience. La subvention à la presse écrite privée a été portée à 500 millions de francs CFA, améliorant la qualité de l'information. La création de 500 postes budgétaires a optimisé le rendement des agents publics et réduit le chômage. Le GIE "Poste Télédiffusion Services Universels" a couvert les zones blanches en téléphonie mobile et internet, améliorant la connectivité. La migration vers la TNT a optimisé la qualité de l'audiovisuel, facilitant l'accès à une télévision de qualité.
Les perspectives d'avenir pour le secteur de la communication et des médias au Gabon sont très prometteuses. La digitalisation reste une priorité, permettant d'améliorer l'efficacité, la qualité et la portée des services médiatiques. Investir continuellement dans la formation et le développement des compétences des professionnels est essentiel pour maintenir ce dynamisme. Encourager l'innovation et la créativité dans la production de contenus permettra de répondre aux attentes d'un public de plus en plus exigeant et diversifié. Établir des partenariats internationaux pour échanger des connaissances et des technologies renforcera la position du Gabon sur la scène médiatique mondiale.

Avec le soutien indéfectible du CTRI, le Chef de l’État s'engage fermement à moderniser le secteur, améliorer la qualité des services, et valoriser la culture gabonaise.

Cet engagement se manifestera par des politiques de soutien et d'investissement dans les infrastructures, les technologies et les ressources humaines. Maintenir des normes élevées de transparence et de responsabilité dans la gestion des médias et de la communication est fondamental. Assurer que tous les citoyens, indépendamment de leur lieu de résidence ou de leur statut socio-économique, aient accès à des informations de qualité et à des services médiatiques modernes est un objectif clé.

Le bilan de ces 10 mois de transition dans le secteur de la communication et des médias montre des progrès remarquables et des réussites importantes, marquant un élan dans notre essor vers la félicité.